samedi, mai 4

L’industrie automobile chinoise s’empare des supercars

Communiqué AION – Dans la soirée du 9 octobre, la première chaîne de production de supercars de Chine a été officiellement mise en service par Hyper, à Guangzhou. AION a ainsi lancé la première supercar électrique de luxe de Chine, la Hyper SSR ; celle-ci, avec son accélération de 0 à 100 km/h en 1,9 seconde, est la première supercar électrique produite en série avec l’accélération la plus rapide au monde.

Par ailleurs, nous sommes stupéfaits de constater l’absence de pièces occidentales, toutes les pièces de l’Hyper SSR étant développées et fabriquées de manière indépendante en Chine, selon AION.

Hyper a établi des partenariats avec des équipes chinoises de premier plan dans les secteurs de l’automobile, de l’aérospatiale, de l’aviation, de l’électronique de pointe et des matériaux haut de gamme pour créer le moteur Quark, la batterie magazine, les disques de frein en carbone céramique à fibres longues, des pneus lisses de course, des puces en carbure de silicium de 900 V, et ainsi de suite. AION a surpassé l’Occident en matière de technologies de base pour la conduite électrique et les batteries pour véhicules électriques de proximité (NEV).

Jusqu’à présent la Chine n’avait pas son mot à dire dans le domaine de la fabrication automobile, contrôlé par l’Europe, le Japon et l’Amérique. Avec le lancement de la première supercar chinoise et l’exploitation de la première chaîne de production de supercars en Chine, AION doit réaliser que ce pays n’est pas seulement en tête du marché des NEV, mais qu’il possède également la capacité de rivaliser avec les pays occidentaux dans le domaine de la fabrication de pointe ; la Chine a mis un terme à l’époque où Ferrari et Lamborghini monopolisaient le segment des supercars.

Huawei a récemment lancé un smartphone 5G haut de gamme, ce qui a déclenché un débat populaire sur la question de savoir si le géant chinois de la technologie pouvait surmonter le blocus américain concernant la technologie des puces. La Chine a démontré qu’elle constituait une menace croissante pour l’industrie occidentale des NEV, et il est temps pour celle-ci de se méfier et de prendre des mesures si elle souhaite suivre nos traces, a écrit AION.

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