samedi, avril 13

Étiquette : Klaudia Lech

Les Shengnu se moquent des étiquettes qu’on leur colle
SOCIETE

Les Shengnu se moquent des étiquettes qu’on leur colle

Traduction de témoignages par notre stagiaire, Julie - Chen Xin semble avoir une vie remplie de succès. A 32 ans, elle gagne un salaire confortable en tant que chercheur dans une ONG basée à Beijing. Elle voyage plusieurs fois par an, donne des conférences sur le réchauffement climatique et à une vie sociale très active. Pourtant, lorsqu’elle rend visite à ses parents à Quzhou, sa ville natale, ils ne s'intéressent pas du tout à ce genre de détails.  Le seul sujet qui les préoccupe est sa vie amoureuse, ou l’absence de vie amoureuse plutôt. Mademoiselle Chen fait partie des milliers de femmes vivant à Pékin et Shanghai et qui sont surnommées « shengnu », ou « restes de femmes », un terme largement employé dans la société chinoise et les médias gérés par l’État. Ils emploient ce terme po...
Pas de honte à être célibataire, les sheng nu se rebiffent
SOCIETE

Pas de honte à être célibataire, les sheng nu se rebiffent

Les "sheng nu" sont les centaines de milliers de femmes sans homme dans leur vie, pour parce qu'elles sont très souvent citadines, diplômées et indépendantes financièrement. En quelques années, elles sont devenues un véritable phénomène de société, mais récemment, elles ont décidé de s'assumer, de vivre leur vie et de préserver leur indépendance et autonomie, sans pour autant tirer une croix sur l'amour. Le terme possède une connotation très péjorative pouvant être traduit par "celles qui restent" ou "celles dont on ne veut plus". Ce mot désobligeant a été largement utilisé pour décrire les femmes qui restaient célibataires à la fin des années 1920. Puis reprit par les médias, il y a une dizaine d'année. Les avis divergent, certaines estiment qu'après 25 ans, une femme est un rebut, d'au...