vendredi, mars 15

Étiquette : Meng Hongwei

L’ex-président d’Interpol condamné à 13 ans de prison
Police et Justice, SOCIETE

L’ex-président d’Interpol condamné à 13 ans de prison

L'ancien directeur d'Interpol, qui avait disparu en 2018, a été condamné à 13 ans et demi de détention pour "corruption". Il ne fera pas appel. A lire aussi : Meng Hongwei plaide coupable Le verdict met fin à une affaire déclenchée en septembre 2018, lorsque Meng Hongwei disparaît du siège lyonnais de l'organisation policière mondiale. Son épouse avait alors alerté la police française. Il faudra attendre une dizaine de jours pour que le gouvernement chinois annonce à Grace Meng, que son mari est rentré en Chine où il a été placé en détention, car soupçonné de corruption. Jugé en juin 2019, Meng Hongwei avait plaidé coupable d'avoir accepté 14,46 millions de yuans (1,86 million d'euros) de pots-de-vin. Peu de détails ont été divulgués par la justice et les médias, mais les fa...
L’ambassade de Chine à Paris a un nouvel ambassadeur
Europe, MONDE

L’ambassade de Chine à Paris a un nouvel ambassadeur

Les autorités chinoises ont nommé à Paris un nouvel ambassadeur, Lu Shaye, 54 ans, connu pour son franc parler. La nomination de Lu Shaye a été signée par le président Xi Jinping, après avoir occupé depuis 2017 les mêmes fonctions à Ottawa. Ce dernier est parvenu à gérer la crise sino-canadienne provoquée par l'arrestation en décembre 2018 à Vancouver de la directrice financière du géant chinois des télécoms Huawei, suivie de l'arrestation de deux Canadiens en Chine. Dans une tribune publiée en janvier 2019, Lu Shaye avait dénoncé «l'égoïsme occidental» et le «suprémacisme blanc» en accusant le Canada et ses alliés de se préoccuper du sort des deux Canadiens arrêtés mais pas selon lui de celui de la responsable de Huawei. Il avait aussi dénoncé l'arrestation Meng Wanzhou, le compa...
L’épouse de Meng Hongwei porte plainte contre Interpol
MONDE, Police et Justice

L’épouse de Meng Hongwei porte plainte contre Interpol

L'épouse de l'ex-président chinois d'Interpol Meng Hongwei a annoncé sont intention d'engager devant la Cour permanente d'arbitrage de La Haye une procédure contre Interpol, organisation internationale de police criminelle, dont le siège est à Lyon. Elu en novembre 2016 à la tête d’Interpol, Meng Hongwei a disparu le 25 septembre 2018 lors d’un voyage en Chine. La France a alors ouvert une enquête pour disparition inquiétante, mais la Chine a annoncé quelques jours plus tard qu’une enquête pour corruption avait été ouverte contre lui. Son épouse, Grace Meng a obtenu l’asile en France .Elle dénonce depuis la nature politique de sa mystérieuse disparition et récusé les accusations portées contre lui par le gouvernement chinois. Dans une déclaration transmise ce 7 juillet à l'agen...
L’ex-président chinois d’Interpol plaide coupable de corruption
Police et Justice, SOCIETE

L’ex-président chinois d’Interpol plaide coupable de corruption

Meng Hongwei, 65 ans, a "fait montre de repentance" pour avoir accepté 14,46 millions de yuans (1,86 million d'euros) de pots-de-vin, a indiqué le Tribunal populaire intermédiaire n°1 de Tianjin. La disparition de Meng Hongwei avait défrayé la chronique LIEN Il avait disparut d'Interpol en septembre 2018, ne donnant aucunes nouvelles de lui après avoir quitté Lyon. "Le verdict sera annoncé à une date ultérieure", selon la même source, son procès n'ayant apparemment duré qu'une demi-journée. "De 2005 à 2017, l'accusé Meng Hongwei a profité de ses fonctions et de ses pouvoirs (…) afin d'aider des entreprises dans leurs affaires et des individus à obtenir des promotions hiérarchiques" contre rémunération, a écrit le tribunal. "Il a fait une déclaration finale, lors de laquelle il a...
Interpol «doit accepter» la démission de Meng Hongwei
MONDE, POLITIQUE

Interpol «doit accepter» la démission de Meng Hongwei

Le secrétaire général d'Interpol, Jürgen Stock, a estimé que l'organisation internationale de police criminelle n'avait pas d'autre choix que «d'accepter» la démission de son ex-président Meng Hongwei. «Ce fut une situation difficile pour l'organisation», a reconnu Jürgen Stock, vis-à-vis de la démission subite de son président Meng Hongwei le 7 octobre, annoncée après que sa femme eut alerté la veille sur sa disparition 11 jours plus tôt en Chine. Le lendemain de la démission de Meng Hongwei, annoncé par l'organisation basée à Lyon, le ministère chinois de la Sécurité publique avait annoncé que celui-ci avait «accepté des pots-de-vin et (était) soupçonné d'avoir violé la loi». Jürgen Stock avait alors évoqué des événements «regrettables», expliquant qu'Interpol avait «vivement en...
Des nouvelles du directeur d’Interpol disparu
PCC, POLITIQUE

Des nouvelles du directeur d’Interpol disparu

Meng Hongwei, 64 ans, n'a plus donné de ses nouvelles depuis le 25 septembre selon son épouse, qui a fait part à la police lyonnaise de la «disparition inquiétante» de son mari. Selon plusieurs sources, Meng Hongwei avait rejoint la Chine en avion depuis Stockholm. Le parquet de Lyon a ouvert une enquête, confiée à la police judiciaire, un dispositif étant également mis en place pour "garantir la sécurité" de l’épouse de Meng Hongwei, Grace Hongwei. Cette dernière a en effet indiqué «avoir récemment reçu des menaces via les réseaux sociaux et par téléphone», a indiqué le 5 octobre le ministère français de l'Intérieur.  La France a fait part de son «interrogation» sur la situation du patron d’Interpole, se disant «préoccupée» par les menaces reçues par son épouse. Le 6 octobre, Int...
La Chine, « 1ère prison du monde pour les journalistes-citoyens »
CULTURE, Médias/Net

La Chine, « 1ère prison du monde pour les journalistes-citoyens »

Reporter Sans Frontières vient de publier son rapport annuel sur la liberté de la presse dans le monde, dans lequel les auteurs dénonce le président Xi Jinping, désigné comme le "premier censeur de la planète et prédateur de la liberté de la presse. Pour RSF, le président est "l’instigateur d’une politique visant au contrôle hégémonique de l’information et à l’instauration d’un ordre médiatique mondial largement influencé par la Chine". En effet, depuis quelques années, l'agence de presse Xinhua a signé des accords de partenariat, avec plus d'une trentaine de pays, dans le but de véhiculer une information "positive" de la Chine. "En 2015 et 2016, nombre de journalistes-citoyens, de blogueurs et de militants des droits humains, y compris étrangers, ont été arrêtés par les autorités...