mardi, mars 26

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Le ministère de la Défense dénonce le soutien Mike Pompeo à Tsai-Ing wen
TAIWAN

Le ministère de la Défense dénonce le soutien Mike Pompeo à Tsai-Ing wen

Le ministère de la Défense a exprimé ce 20 mai sa forte insatisfaction et sa ferme opposition à la déclaration du secrétaire d'Etat américain, Mike Pompeo, félicitant la dirigeante de Taïwan, Tsai Ing-wen, pour son investiture. "Taïwan est une partie inaliénable de la Chine", a déclaré le ministère dans un communiqué, notant que "la décision des Etats-Unis a gravement violé le principe d'une seule Chine et les stipulations des trois communiqués conjoints sino-américains". Un soutien avéré de la diplomatie américaine Pour la toute première fois, un secrétaire d'État américain a adressé ses félicitations à un dirigeant de Taïwan" pour son investiture. Dans une déclaration du 19 mai, Mike Pompeo a félicitée Tsai Ing-wen pour son deuxième mandat et a commenté sa réélection écrasante en ja...
Une sécession de Taïwan impensable pour la Chine
TAIWAN

Une sécession de Taïwan impensable pour la Chine

La Chine "ne tolérera jamais" une sécession de Taïwan, a déclaré ce 20 mai, le porte-parole du Bureau des affaires taïwanaises, Ma Xiaoguang. Cette déclaration intervient après l'investiture de Tsai INg-wen pour un second mandat. "Nous avons une détermination sans faille, une confiance totale et toutes les capacités de défendre la souveraineté nationale et l'intégrité territoriale", a averti le porte-parole du Bureau des affaires taïwanaises, Ma Xiaoguang. "Nous ne tolérerons jamais aucune action sécessionniste", a-t-il affirmé, selon des propos cités par l'agence de presse officielle, Xinhua. Ce dernier a réagit aux propos tenus par la dirigeante taïwanaise Tsai Ing-wen, assurant que Beijing devait se résoudre à vivre pacifiquement aux côtés de Taïwan et que l'île n'accepterait jama...
Tsai Ing-wen investie pour un second mandat
TAIWAN

Tsai Ing-wen investie pour un second mandat

La dirigeante Tsai Ing-wen a prêté serment le 20 mai au Palais présidentiel à Taipei et officiellement entamé son deuxième mandat de quatre ans en tant que dirigeante de la République de Chine (Taïwan). Réélue le 11 janvier 2020 avec 8,17 millions de suffrages, Tsai Ing-wen, âgée de 63 ans, a été investie lors d’une simple en raison de la pandémie de Covid-19. L’ancien premier ministre Lai Ching-te a lui aussi prêté serment en tant que vice-président de la République, une fonction à laquelle il succède à Chen Chien-jen. En raison de la pandémie de Covid-19, aucun chef d’Etat ou de gouvernement étranger n’apu faire le déplacement. Mais, de nombreux messages de félicitations préenregistrés ont été diffusés lors de la cérémonie, à laquelle assistaient les ambassadeurs et représentants d...
Beijing réagit à la « Loi anti-infiltration » de Taïwan
TAIWAN

Beijing réagit à la « Loi anti-infiltration » de Taïwan

Selon le Bureau des affaires de Taïwan du Conseil des affaires d'État, la «Loi anti-infiltration» de l'île de Taïwan est «une mesure de Terreur verte du Parti démocrate progressiste au pouvoir (PDP) qui va nuire aux intérêts du peuple de Taïwan, et dont le but est de marquer des points politiques» . «Les autorités du DPP ont saboté la communication et les échanges entre les deux rives du détroit, déclenché l'hostilité et la confrontation entre les deux rives du détroit, nui aux sentiments des peuples des deux côtés et gravement compromis les intérêts du peuple de Taïwan», a déclaré Zhu Fenglian, porte-parole du Bureau des affaires de Taïwan du Conseil des affaires d'État. D'après cette dernière, des gens de tous les milieux de l'île ont fermement condamné l’adoption de cette loi et s...
Taïwan adopte une loi contre les « interférences de Beijing »
TAIWAN

Taïwan adopte une loi contre les « interférences de Beijing »

Le 31 décembre, les autorités taïwanaises se sont dotées d'une loi controversée visant à freiner l'influence de la Chine dans l'île. Ce texte a été adopté deux semaines avant l'élection présidentielle. Ce projet de «loi anti-infiltrations» présenté par le Parti démocratique progressiste (PDP) de l'actuelle dirigeante Tsai Ing-wen, a été voté malgré la forte opposition du Kuomintang (KMT, opposition), préférant une position plus accommodante envers la Chine continentale. La nouvelle loi interdit aux forces étrangères «hostiles» de faire des campagnes ou du lobbying, de procéder à des donations politiques, de perturber l'ordre social ou de diffuser de la désinformation liée aux élections. Les contrevenants risquent jusqu'à cinq ans de prison ferme et une amende d'environ 332 000 dollar...