samedi, avril 20

Étiquette : Interpol

L’épouse de Meng Hongwei porte plainte contre Interpol
MONDE, Police et Justice

L’épouse de Meng Hongwei porte plainte contre Interpol

L'épouse de l'ex-président chinois d'Interpol Meng Hongwei a annoncé sont intention d'engager devant la Cour permanente d'arbitrage de La Haye une procédure contre Interpol, organisation internationale de police criminelle, dont le siège est à Lyon. Elu en novembre 2016 à la tête d’Interpol, Meng Hongwei a disparu le 25 septembre 2018 lors d’un voyage en Chine. La France a alors ouvert une enquête pour disparition inquiétante, mais la Chine a annoncé quelques jours plus tard qu’une enquête pour corruption avait été ouverte contre lui. Son épouse, Grace Meng a obtenu l’asile en France .Elle dénonce depuis la nature politique de sa mystérieuse disparition et récusé les accusations portées contre lui par le gouvernement chinois. Dans une déclaration transmise ce 7 juillet à l'agen...
Extradition de Bulgarie d’un ex-dirigeant accusé de corruption
Europe, Police et Justice

Extradition de Bulgarie d’un ex-dirigeant accusé de corruption

Le gouvernement chinois a obtenu de la Bulgarie l'extradition de Yao Jinqi, ancien haut fonctionnaire accusé de corruption. Il s'agit d'une première pour un pays de l'Union européenne. Yao Jinqi, âgé de 62 ans, ancien responsable dans la province du Zhejiang (est) est retourné en Chine le 30 novembre, "où il ne risquera pas la peine de mort", d'après les autorités bulgares. "Les agences chargées de l'application de la loi en Chine et en Bulgarie ont travaillé étroitement ensemble et Yao Jinqi, un suspect qui s'était enfui en Bulgarie, a été extradé", a annoncé dans un communiqué la Commission nationale de supervision. "C'est la première fois que nous avons réussi à faire extrader depuis un pays membre de l'UE un fonctionnaire soupçonné de crimes liés à son travail", ajoute la comm...
Interpol «doit accepter» la démission de Meng Hongwei
MONDE, POLITIQUE

Interpol «doit accepter» la démission de Meng Hongwei

Le secrétaire général d'Interpol, Jürgen Stock, a estimé que l'organisation internationale de police criminelle n'avait pas d'autre choix que «d'accepter» la démission de son ex-président Meng Hongwei. «Ce fut une situation difficile pour l'organisation», a reconnu Jürgen Stock, vis-à-vis de la démission subite de son président Meng Hongwei le 7 octobre, annoncée après que sa femme eut alerté la veille sur sa disparition 11 jours plus tôt en Chine. Le lendemain de la démission de Meng Hongwei, annoncé par l'organisation basée à Lyon, le ministère chinois de la Sécurité publique avait annoncé que celui-ci avait «accepté des pots-de-vin et (était) soupçonné d'avoir violé la loi». Jürgen Stock avait alors évoqué des événements «regrettables», expliquant qu'Interpol avait «vivement en...
Des nouvelles du directeur d’Interpol disparu
PCC, POLITIQUE

Des nouvelles du directeur d’Interpol disparu

Meng Hongwei, 64 ans, n'a plus donné de ses nouvelles depuis le 25 septembre selon son épouse, qui a fait part à la police lyonnaise de la «disparition inquiétante» de son mari. Selon plusieurs sources, Meng Hongwei avait rejoint la Chine en avion depuis Stockholm. Le parquet de Lyon a ouvert une enquête, confiée à la police judiciaire, un dispositif étant également mis en place pour "garantir la sécurité" de l’épouse de Meng Hongwei, Grace Hongwei. Cette dernière a en effet indiqué «avoir récemment reçu des menaces via les réseaux sociaux et par téléphone», a indiqué le 5 octobre le ministère français de l'Intérieur.  La France a fait part de son «interrogation» sur la situation du patron d’Interpole, se disant «préoccupée» par les menaces reçues par son épouse. Le 6 octobre, Int...
La Chine, « 1ère prison du monde pour les journalistes-citoyens »
CULTURE, Médias/Net

La Chine, « 1ère prison du monde pour les journalistes-citoyens »

Reporter Sans Frontières vient de publier son rapport annuel sur la liberté de la presse dans le monde, dans lequel les auteurs dénonce le président Xi Jinping, désigné comme le "premier censeur de la planète et prédateur de la liberté de la presse. Pour RSF, le président est "l’instigateur d’une politique visant au contrôle hégémonique de l’information et à l’instauration d’un ordre médiatique mondial largement influencé par la Chine". En effet, depuis quelques années, l'agence de presse Xinhua a signé des accords de partenariat, avec plus d'une trentaine de pays, dans le but de véhiculer une information "positive" de la Chine. "En 2015 et 2016, nombre de journalistes-citoyens, de blogueurs et de militants des droits humains, y compris étrangers, ont été arrêtés par les autorités...