Après le ralliement du Burkina Faso à la Chine, le ministre des affaires étrangères, Wang Yi a assuré que le FOCAC est «une plate-forme importante du dialogue collectif et de la coopération entre la Chine et les pays africains, un exemple pour la coopération Sud-Sud et un étendard pour la coopération internationale avec l’Afrique».
Lors de la réunion des ministres des affaires étrangères des BRICS en Afrique du Sud, le chef de la diplomatie a tenu à rappeler les intérêts des territoires africains à s’allier à la Chine, prenant l’Afrique du sud en exemple.
Pays membre du groupe BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine), l’Afrique du sud et la Chine «ont toujours coopéré étroitement pour promouvoir l’évolution du mécanisme du FOCAC», selon Wang Yi.
Beijing accueillera en septembre le Sommet de Beijing 2018 du FOCAC avec comme thème principal «Chine-Afrique: construire ensemble une communauté de destin sino-africaine encore plus solide».
L’objectif est de parvenir à conjuguer l’initiative La Ceinture et La Route, le Programme des Nations Unies sur le développement durable à l’horizon de 2030, l’Agenda 2063 de l’Union Africaine et les stratégies de développement des divers pays africains pour élaborer de nouveaux plans de coopération gagnant-gagnant et ouvrir de nouvelles perspectives au développement commun.
Pour la Chine, le prochain sommet «va élaborer de nouvelles mesures pour promouvoir la coopération tous azimuts entre la Chine et l’Afrique».
