dimanche, mai 5

Étiquette : Wang Yi

Une « seule Chine » prévient Barack Obama à Donald Trump
Amériques, MONDE

Une « seule Chine » prévient Barack Obama à Donald Trump

L'actuel président américain Barack Obama a mis en garde son successeur Donald Trump contre la possibilité d'une réaction "très significative" de la Chine, s'il met fin au principe d'une "seule Chine", par rapport à Taïwan. La politique d'une "seule Chine" est "au coeur de la conception qu'a (la Chine) de sa nation", a souligné le président sortant. "Donc si vous souhaitez mettre fin à cette entente, vous devez penser aux conséquences qui en découlent, parce que la Chine ne va pas considérer cela comme elle considère d'autres questions", a indiqué Barack Obama. Pour ce dernier, ce principe relève de "l'essence même de la façon dont les Chinois se voient et leur réaction sur cette question pourrait être très significative". En effet, le ministre des affaires étrangères, Wang Yi, s'est...
Taipei. La tension monte entre Beijing et Washington
Amériques, MONDE, TAIWAN

Taipei. La tension monte entre Beijing et Washington

Samedi 3 décembre, la situation était quasiment sous contrôle. Le ministres chinois des affaires étrangères avait minimisé l'incident, Donald Trump avait tenté de tout mettre sur le dos de la présidence taïwanaise, dont les représentants ont assuré que c'était délibéré et convenu. Et la Maison Blanche a voulu montrer patte blanche, en assurant le principe d'"une seule Chine". Pas de quoi s'alarmer. Cependant, ce dimanche 4 décembre, des proches du président élu Donald Trump ont tenté de rassurer la Chine après l'appel qu'il a eu un entretien téléphonique avec la dirigeante de Taïwan, Tsai Ing-wen. En effet, le ministre chinois Wang Yi avait évoqué "une petite astuce" de la part de Taïwan pour ne pas adhérer au Consensus de 1992 et au principe d'une seule Chine. Mais désormais Beijing c...
Chine-France : investissement commun à l’étranger
Afrique, Asie/Pacifique, Europe, MONDE

Chine-France : investissement commun à l’étranger

Le ministre français des affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, a annoncé le 31 octobre,  que son pays et la Chine vont lancer un fonds destiné à financer des investissements communs à l'étranger. Jean-Marc Ayrault a prit pour exemple le projet de construction à 20 milliards d'euros des 2 réacteurs nucléaires EPR en Grande-Bretagne, dans le cadre d'un partenariat entre EDF et le groupe China General Nuclear (CGN). "C'est un très bon exemple de ce qu'on va faire ensemble, remporter des contrats sur les marchés tiers, et cela dans tous les secteurs", a souligné le ministre français, lors d'un point presse avec son homologue chinois, Wang Yi. "C'est un modèle que nous soutenons partout, y compris en Afrique, y compris en Asie", a-t-il insisté, indiquant que le nouveau fonds "sera créé proc...
« La porte sera de plus en plus ouverte aux investissements étrangers »
Europe, MONDE

« La porte sera de plus en plus ouverte aux investissements étrangers »

Le ministre chinois des affaires étrangères, Wang Yi, a indiqué à son homologue français, Jean-Marc Ayrault, que "nous devons améliorer l'environnement pour les investissements. Mais ce que je veux souligner, c'est que la porte de la Chine sera de plus en plus ouverte aux investissements étrangers". A l'occasion d'une conférence conjointe, le ministre chinois a indiqué que "cette ouverture constituait une tendance inévitable". Mais surtout elle entre dans le cadre de la politique étrangère engagée dans le 13ème plan quinquennal (2016-2020). De son côté, Jean-Marc Ayrault a souhaité au président Xi Jinping, lors de leur rencontre, "une relation forte avec l'Union européenne, et notamment dans les relations économiques et les investissements", d'après l'Agence France Presse. Lors d'une re...
Washington incite Manille et Beijing à la discussion
Mers de Chine, MONDE

Washington incite Manille et Beijing à la discussion

Après avoir tenté de rallier les pays membres de l'ASEAN contre Beijing, Washington appelle Beijing au dialogue concernant les différents en mer de Chine méridionale. Le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, a assuré que son pays ne souhaitait pas de "confrontation". Lors d'un entretien avec le nouveau ministre philippin des Affaires étrangères, Perfecto Yasay, le chef de la diplomatie américaine a indiqué que les deux pays devaient engager la discussion. Une position déjà envisagée par Manille, qui a décidé d'envoyer comme émissaire en Chine l'ancien président Fidel Ramos pour discuter avec Pékin du conflit autour de la mer de Chine méridionale. Le 14 juillet, le président philippin Rodrigo Duterte a indiqué que Fidel Ramos "ira en Chine pour lancer les pourparlers" après la décision...
Est ce que Manille change de position ?
Mers de Chine, MONDE

Est ce que Manille change de position ?

Après avoir appelé au dialogue et à l'apaisement, afin de trouver une solution négociée avec la Chine, concernant la mer de Chine méridionale, une dépêche de l'AFP, annonce que "Manille appelle Pékin à respecter le jugement international sur la mer de Chine méridionale". Cependant, sur le site officiel du gouvernement, via son agence de presse, PIA, un communiqué de presse précise que le ministre des affaires étrangères Perfecto Yasay a déclaré que "les experts en droit des Philippines étudient la sentence arbitrale avec soin et minutie que cette importante issue mérite". "En attendant, nous demandons à toutes les parties concernées à faire preuve de retenue et de sobriété", a indiqué Perfecto Yasay. Toutefois, dans un communiqué paru sur le site du Ministère philippin des affaires étra...
Manille se félicite, Beijing rappelle sa position
Mers de Chine, MONDE

Manille se félicite, Beijing rappelle sa position

Les Philippines se félicitent de la décision du tribunal, appelant tout de même à l'apaisement et au dialogue. Tandis que Beijing a réitéré sa position souverainiste en mer de Chine méridionale. Washington est ravie d'une telle décision, qui entache la stratégie de soft-power de la Chine, d'autant plus que des hauts dirigeants militaires sont prêts à prendre les armes pour défendre la souveraineté nationale. Les Philippines contentes mais tempérées Dans un communiqué publié par l'agence de presse philippines (PIA), le ministre des affaires étrangères, Perfecto Yasay, s'est félicité de "la sentence par le tribunal arbitral constitué par la Cour permanente d'arbitrage, en vertu de l'annexe VII de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (UNCLOS) de 1982 sur la procédure d'a...
Beijing craint le Brexit
MONDE

Beijing craint le Brexit

Le Royaume Uni va décider par référendum le 23 juin, son maintien ou non dans l'Union Européenne, une situation qui inquiètent les dirigeants chinois, qui préfèrent "une Europe forte et impliquée dans l'économie mondiale". Le ministre des Affaires étrangères, Wang Yi, a apporté son soutien au Royaume, en n'interférant pas dans ses affaires internes, cependant une sortie de l'UE pourrait affaiblir le bloc européen, considéré comme un contrepoids aux États-Unis. De plus, les conséquences économiques et commerciales d'un Brexit pourrait déstabiliser l'accord commercial UE-Chine, soutenu par le Royaume Uni. Lors d'une conférence de presse sur l'organisation du G20, qui aura lieu en Chine, Wang Yi, a assuré que "la direction prise par la Grande-Bretagne sera décidée par le peuple britan...
Chine – Singapour, une relation tâtonnante
ECONOMIE, MONDE

Chine – Singapour, une relation tâtonnante

Composée à 75% de chinois, l'île de Singapour est appelé la "petite Chine", en raison de ses liens historiques, culturelles et économiques avec l'Empire du milieu. Cependant, les échanges entre les deux pays sont limités, l'Union Européenne est le premier fournisseur de l'île, bien que Beijing tente des rapprochements, en dépit des tensions concernant Taïwan. Cette année 2015 célèbre le 25ème anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre les deux pays. A cette occasion, le président chinois Xi Jinping et son homologue singapourien, Tony Tan Keng Yam, se sont échangés des messages de félicitations, arguant que les deux pays sont "des voisins qui entretiennent des relations proches et amicales", pour le président chinois. Intensifier les relations sino-singapouriennes Xi ...
La Chine, toute puissante à l’ONU
MONDE

La Chine, toute puissante à l’ONU

Le président chinois Xi Jinping a annoncé à New York, une série de mesure visant à soutenir les Nations Unies, lors de sa 1ère Assemblée générale de l'Organisation des Nations Unies, le 25 septembre. Cette annonce a été bien vu par certains officiels, mais elles posent certaines questions pour certains experts et observateurs. La contribution chinoise qui vient d'être évoquée fait de la Chine l'un des principaux contributeurs en troupes et en personnel de police, parmi les cinq membres du Conseil de sécurité (Chine, États-Unis d'Amérique, Fédération de Russie, France et Royaume-Uni). Pour le ministre des affaires étrangères, Wang Yi, le discours de Xi Jinping vise surtout à construire une "architecture sécuritaire partagée par les pays et offrant équité et justice".   Mesure en cascade Dés...
Washington/Pékin, la tension monte en mer de Chine méridoniale
MONDE

Washington/Pékin, la tension monte en mer de Chine méridoniale

"Le vaste océan Pacifique est assez grand pour embrasser à la fois la Chine et les États-Unis", a déclaré Xi Jinping, au chef de la diplomatie américaine, John Kerry arrivé à Pékin ce lundi 18 mai 2015. Cette déclaration survient après le haussement de ton de Washington vis-à-vis de Pékin pour avoir envoyé un de ces navires chinois apporter du remblai sur un îlot des Spratleys, en mer de Chine. Samedi 16 mai, le secrétaire d’État américain John Kerry a appelé la Chine à prendre des mesures pour réduire les tensions en mer de Chine du Sud. Ce dernier s’est dit "préoccupé" devant les nouvelles revendications territoriales de Pékin dans cette zone contestée. Inquiétudes américaines et détermination chinoise En visite en Chine pour 48 heures, le diplomate américain a indiqué qu'il allait f...
Les États-Unis seraient responsable de la mobilisation hongkongaise
Hong Kong, MONDE

Les États-Unis seraient responsable de la mobilisation hongkongaise

Après l'annulation par le gouvernement hongkongais des pourparlers, le 7 octobre, les manifestants ont demandé le soutien de la communauté internationale, afin qu'elle fasse pression sur les autorités chinoises. Cependant, depuis une dizaine de jours, de nombreux experts et journalistes affirment que les américains seraient derrière cette mobilisation. L'objectif des États-Unis serait, non pas la démocratie, mais la préservation des intérêts économiques, politiques, financiers et médiatiques étrangers. Selon plusieurs sites d'information, le National Endowment for Democracy (NED), financé par le Département d’État américain, et sa filiale hongkongaise, le National Democratic Institute (NID), jouent un rôle central dans la mobilisation étudiante à Hong Kong. Le NED, créé en 1983, s'est "eng...